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Le capitalisme… et un iPad.

2021-02_ipad-fc_CSN

Le 17 février dernier, nous avons été convoqué à une rencontre importante de dernière minute. La veille, une représentante de l’employeur nous avait convoqués sans vraiment de préavis à une rencontre avec le syndicat, préalable à une seconde rencontre pour tout le personnel. L’avocate de l’employeur a contacté le conseiller au dossier, “ça serait important que tu y sois, ils vont avoir besoin de toi, mais je ne peux pas t’en dire plus“. Rien à faire, elle ne dira rien de plus pour le moment.

Pas besoin de plus d’explications, on sait lire entre les lignes. Après plusieurs recherches à droite et à gauche dans nos réseaux de contacts le scénario commence à prendre forme. Notre hypothèse se confirme à mesure que nous parvenons à mettre la main sur de petites bribes d’information, le centre serait surement délocalisé en Ontario.

Fort de notre hypothèse, nous envoyons une grosse délégation à ces rencontres. Fédération du commerce et Conseil central de la Montérégie, pas vrai qu’on va laisser tomber nos camarades! Les boss ne sont pas ravis, « vous ne rentrerez pas tous, ce n’était pas ce qui avait été convenu ». Mais qu’est-ce qui était prévu, vous ne nous avez rien dit pour le moment?

On demande à être présent dans la shop au moment de l’annonce. Pas vous tous, pandémie oblige. Ces boss qui ont tardé à mettre en place les règles de prévention et pour lesquelles le syndicat s’est battu d’arrache-pied sont en train de revirer ça contre le syndicat. La marmite saute. « Tu te crissais ben de la pandémie et maintenant que tu me criss dehors, là ça devient, par magie, ben important !!! » L’employeur demande à ce que le ton demeure respectueux… Quand tu retires à des salarié-es leur travail pour lequel ils se sont donnés pendant de si longues années, quand tu leur annonces qu’ils ne font pas le poids devant la volonté de l’employeur de faire plus d’argent encore… eh bien, il est possible que ça sorte un peu du décorum auquel tu t’attendais!

On a le droit d’être accompagnés de deux représentants de la CSN pendant l’annonce et un troisième après coup quand les boss sortiront de la salle. Cette pandémie est tellement utile parfois.

Oh que oui qu’elle est utile cette pandémie! Elle justifie que le grand boss, qui doit procéder à l’annonce, puisse rester bien assis sur son fauteuil sans devoir se déplacer sur place et faire cette « tâche ingrate ». L’annonce se fera sur Teams. Les salarié-es ne méritent même pas une installation technologique digne de l’annonce qui leur sera faite. Oh que non… on laisse le contremaître patenter un iPad dans la cafétéria avec un tout petit haut-parleur rabouté.

Un iPad… oui, un iPad! On t’annonce que ta job et celle de tes camarades vont cesser dans les prochaines semaines avec un maudit iPad!

Comme si ce n’était pas assez, après de longues minutes de « problèmes techniques » où le boss demande de la compréhension, la rencontre débute… sans traduction! C’en est trop. Le conseiller intervient et exige la traduction sur le champ, ce n’est pas vrai que ce genre d’annonce se fera en anglais en plus.

C’est la surprise, la consternation. Les émotions passent de la tristesse, à la colère, une montagne russe d’émotions. Les expressions d’usages ne suffisent pas à apaiser la douleur et la rage, « nos employés sont importants pour nous », « ç’a été la décision la plus difficile que j’ai prise de ma vie », « nous accompagnerons nos employés jusqu’au bout », « nous sommes reconnaissants du travail de nos employés ».

Quand on te dit, année après année, que la shop est rentable et que tout se passe bien… eh bien, tu t’expliques mal cette décision. Et, c’est là que tu te rends compte que ton travail, tes efforts et tout ce temps mis à faire ton travail avec professionnalisme et attention n’auront pas servi à te donner plus de valeur qu’une colonne de chiffres.

C’est ça le capitalisme et on en a eu amère démonstration au travers l’écran d’un ridicule petit iPad!

L’exécutif du Syndicat des travailleurs du C.I.A.Q. (CSN)

Entente de principe acceptée à la station Mont-Tremblant

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L’entente, d’une durée d’un an, prévoit une augmentation de salaire de 2 % rétroactive au 1er novembre et une majoration de l’assurance salaire de longue durée, entièrement assumée par l’employeur, à compter d’avril prochain. De plus, le syndicat a réussi à négocier le maintien à l’emploi, pour la semaine du 13 au 19 décembre 2020, des salarié-es prévus à l’horaire malgré le décret annoncé vendredi dernier faisant passer Mont-Tremblant en zone rouge.

14 décembre 2020

Entente de principe

Les membres du Syndicat des travailleurs et des travailleuses de la Station Mont-Tremblant (CSN), réunis en assemblée générale le 13 décembre, ont accepté à 86 % l’entente de principe intervenue vendredi avec l’employeur.

L’entente, d’une durée d’un an, prévoit une augmentation de salaire de 2 % rétroactive au 1er novembre et une majoration de l’assurance salaire de longue durée, entièrement assumée par l’employeur, à compter d’avril prochain. De plus, le syndicat a réussi à négocier le maintien à l’emploi, pour la semaine du 13 au 19 décembre 2020, des salarié-es prévus à l’horaire malgré le décret annoncé vendredi dernier faisant passer Mont-Tremblant en zone rouge.

« Le syndicat a aussi profité de cette négociation pour régler plusieurs griefs, évitant ainsi que des sommes colossales soient consacrées aux paiements d’honoraires de frais d’avocats patronaux et faisant plutôt en sorte qu’elles servent aux travailleuses et aux travailleurs de la station », explique le président du STTSMT–CSN, Benoît Fillion.

Gel de salaire annoncé à l’automne

A la fin de l’automne, en raison des pertes subies dans ses installations au Canada et aux États-Unis, la compagnie propriétaire de la station Mont-Tremblant, Alterra, annonçait un gel de salaire pour l’ensemble de ses employé-es pour l’année 2021. En raison de la pandémie et de l’incertitude générée par les mesures sanitaires à l’approche du début de la saison de ski, les parties ont amorcé leurs négociations le 19 novembre dernier avec pour objectif une prolongation de la convention collective d’un an au lieu d’un renouvellement de contrat de trois ans.

Tout en maintenant sa position à propos du gel des salaires, Alterra offrait, le 2 décembre dernier, un boni à ses employé-es non syndiqués et à ses cadres pour l’ensemble de ses établissements calculé en fonction des revenus des employé-es au 31 juillet 2020. À ses salarié-es syndiqués, Alterra proposait plutôt un montant forfaitaire calculé en fonction des revenus des employé-es dans l’année précédant la signature. Or, avec la fermeture de la station le 13 mars dernier, non seulement ledit boni était moins généreux que celui accordé aux non-syndiqué-es, mais qui plus est, il ne représentait, au bout du compte, qu’un très petit montant destiné à des salarié-es qui ont peu ou qui n’ont pas travaillé l’année dernière.

« Nos membres ont été clairs. Ils nous ont demandé de rejeter toute proposition forfaitaire et de revendiquer une augmentation de salaire raisonnable pour le personnel syndiqué. Dans les derniers jours des pourparlers, soit les 9 et 11 décembre dernier, faisant face à une campagne de visibilité syndicale sans précédent sur l’ensemble de la station, l’employeur nous a finalement annoncé qu’il était disposé à nous accorder une augmentation de salaire », relate Benoît Fillion.

Annonce du passage en zone rouge

En préparation d’une contre-proposition vendredi dernier, le syndicat apprenait le décret du gouvernement qui faisait passer les MRC des Pays-d’en-Haut ainsi que celles des Laurentides en zone rouge à compter du dimanche suivant. Anticipant du coup une série de mises à pied affectant plusieurs catégories d’emplois, le syndicat a décidé de remodeler in extremis sa contre-proposition en prévoyant le maintien à l’emploi des salarié-es prévus à l’horaire.

« Le syndicat de la Station Mont-Tremblant peut être fier d’avoir obtenu une augmentation de salaire, malgré la pandémie. La détermination et la mobilisation de ses membres ont été payantes », a conclu pour sa part Michel Valiquette, trésorier de la FC–CSN et responsable du secteur du tourisme au sein de la fédération.

À propos

Le Syndicat des travailleurs et des travailleuses de la Station Mont-Tremblant représente plus de 1200 membres. Il est affilié à la Fédération du Commerce–CSN qui regroupe près de 30 000 membres dont les employé-es des stations de ski Mont-Tremblant, Mont Sainte-Anne et Stoneham, le Massif de la Petite-Rivière-St-François, Mont Grands-Fonds, Val Saint-Côme, Mont Habitant, Mont Ste-Marie et Mont-Bélu.

Douze ententes conclues avec des magasins d’alimentation du Saguenay-Lac-St-Jean

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Les douze ententes signées jusqu’à présent seront valides jusqu’en 2025 ou 2026 et elles atteignent les objectifs établis pour cette ronde de négociation.

14 décembre 2020

La Fédération du commerce–CSN se réjouit d’avoir déjà réussi à conclure douze ententes acceptées en moyenne par plus de 90 % des membres dans le cadre de la négociation coordonnée des magasins de l’alimentation.

« Grâce à la combativité des travailleurs et travailleuses, nous avons réussi à faire des gains plus que substantiels, affirme le vice-président de la Fédération du commerce (FC–CSN), Alexandre Giguère. C’est une excellente nouvelle pour les travailleuses et les travailleurs de l’industrie qui ont été et qui continuent d’être au front depuis le tout début de la crise sanitaire. »

Les douze ententes signées jusqu’à présent seront valides jusqu’en 2025 ou 2026 et elles atteignent les objectifs établis pour cette ronde de négociation. Elles prévoient, notamment, des améliorations considérables aux régimes de retraite ainsi que des augmentations salariales variant entre 2,5 % et 2,75 % par année. De plus, plusieurs salarié-es seront repositionnés dans l’échelle salariale, ce qui fait qu’ils bénéficieront d’une augmentation salariale effective pouvant aller jusqu’à 6 %.

Dès la signature des nouvelles conventions, de nombreux salarié-es obtiendront un salaire de 15 $ l’heure et d’autres l’atteindront rapidement. Par exemple, les caissières au dernier échelon de l’échelle salariale gagneront 16,93 $ l’heure dans les magasins avec service comme les IGA et 18,57 $ l’heure dans les détaillants à escompte comme les Maxi.

« Nous sommes fort satisfaits des règlements obtenus. Ceux-ci confirment la grande force de la CSN dans la région, explique le secrétaire général du Conseil central du Saguenay–Lac-Saint-Jean (CSN), Pierre Morel. Toutes bannières confondues, c’est chez nous que nous retrouvons les meilleures conventions collectives de tout le Québec, et de loin. »

« La signature de ces ententes ne signifie pas pour autant que nous cessons de revendiquer le retour de la prime « COVID » de 2 $, prévient toutefois M. Giguère. Nous continuerons de faire pression sur les employeurs sur ces enjeux, car l’actualité nous démontre chaque jour que les risques et les enjeux sanitaires sont tout aussi importants en ce moment qu’ils l’étaient le printemps dernier quand la prime avait été implantée. »

Paniers de Noël

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Aux travailleuses et travailleurs des secteurs de la restauration, de l’hôtellerie et du loisir. 

Les temps sont difficiles… ça peut paraître banal de le dire, mais ce ne l’est jamais de le vivre.

Cette pandémie et ses conséquences ont eu des impacts sérieux sur nos milieux de travail et encore plus sur nos vies, nos familles et notre sécurité financière. Beaucoup d’entre nous ont dû vider leur tirelire pour faire face à leurs obligations, malgré les soutiens offerts par les gouvernements. Et certains n’ont même pas accès ou n’ont plus accès à ces programmes. Et voilà que les Fêtes cognent à la porte…

La Fédération nationale des communications et de la culture et la Fédération du commerce de la CSN ont à cœur que cette période en soit une de réjouissance et de paix pour chacun de ses membres et leur famille. C’est pourquoi nous avons eu l’idée de donner un petit coup de pouce aux familles qui jonglent actuellement avec leur budget très serré.

Nous avons le projet de préparer un certain nombre de paniers alimentaires que nous distribuerons le 23 décembre à la CSN, au 1601, avenue De Lorimier à Montréal.

C’est un petit geste de solidarité, mais surtout la reconnaissance que nous sommes tous dans le même bateau face à cette tempête.

Si vous vous trouvez dans une situation difficile et si un petit panier de Noël de gâteries peut vous faire plaisir et faire que ces fêtes soient un peu plus festives ; communiquez avec nous en complétant au formulaire.

Si vous avez des questions, vous pouvez communiquer par courriel à : paniersdenoel@csn.qc.ca ou par téléphone à votre fédération au 514 598-2181.

Une initiative de la FC–CSN et de la FNCC–CSN.


De la violence et du harcèlement au travail - Agis pour que ça cesse

Les comportements associés au harcèlement et à la violence au travail entraînent de multiples conséquences, notamment sur la santé physique et psychologique des personnes qui en sont victimes. Ils provoquent également des répercussions néfastes sur les milieux de travail où ils se produisent.

S’il est vrai que la responsabilité de créer un milieu de travail sain et sécuritaire incombe d’abord à l’employeur, prévenir et contrer la violence et le harcèlement au travail est une responsabilité collective et le devoir de toutes et tous.

Ne rien faire devant des situations de violence et de harcèlement contribue à les faire perdurer. Nous pouvons toutes et tous contribuer à mettre un frein au harcèlement sexuel si nous agissons.

Constamment empêcher une personne de s’exprimer, l’ignorer, la discréditer, et volontairement l’empêcher de réussir ou la mettre en situation d’échec constitue du harcèlement psychologique. 21 % des Québécoises et des Québécois affirment avoir vécu du harcèlement psychologique au travail. Êtes-vous l’une de ces personnes?

Téléchargez la brochure afin d’en apprendre plus sur les différentes manifestations de la violence et du harcèlement au travail, sur leurs conséquences et sur les actions à entreprendre pour y mettre un terme.

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