Campagne courriel
Une prime pour les 500 salarié-es de Newrest de Montréal
Nous, les 500 salarié-es de Newrest à Montréal, demandons une prime de rétention pour faire face à notre licenciement collectif par l’entreprise. En octobre prochain, plusieurs d’entre nous perdront notre travail.
D’ici là, nous sommes dans une période cruciale de l’année pour Newrest et une prime de rétention est nécessaire pour reconnaitre nos efforts et poursuivre le travail.
Newrest gagne du temps et cache son jeu
Malheureusement, depuis des semaines, Newrest cherche à gagner du temps par tous les moyens et adopte un ton méprisant avec nous. Lors d’une récente rencontre, l’employeur n’a toujours rien proposé à titre de prime de rétention pour les salarié-es licenciés.
Le 25 juillet prochain, une nouvelle rencontre aura lieu. À titre de dirigeants de Newrest, nous vous demandons de donner les mandats nécessaires pour que nous obtenions enfin la prime souhaitée.









Mettre fin à l’exploitation de travailleuses et travailleurs étrangers temporaires
Plusieurs d’entre nous sont des travailleuses et des travailleurs étrangers temporaires qui œuvrent pour Newrest en offrant le meilleur de nous-mêmes. La décision de l’entreprise de nous licencier aura des impacts dramatiques sur nos vies. L’obtention d’une prime de rétention serait la solution qui nous aiderait à faire face à un avenir actuellement incertain.
Campagne courriel, contactez l'entreprise en France
Voici le message qui sera envoyé :
Bonjour,
Nous, les 500 salarié-es de Newrest à Montréal, demandons une prime de rétention pour faire face à notre licenciement collectif par l’entreprise. En octobre prochain, plusieurs d’entre nous perdront notre travail.
D’ici là, nous sommes dans une période cruciale de l’année pour Newrest et une prime de rétention est nécessaire pour reconnaitre nos efforts et poursuivre le travail.
Newrest gagne du temps et cache son jeu
Malheureusement, depuis des semaines, Newrest cherche à gagner du temps par tous les moyens et adopte un ton méprisant avec nous. Lors d’une récente rencontre, l’employeur n’a toujours rien proposé à titre de prime de rétention pour les salarié-es licenciés.
Le 25 juillet prochain, une nouvelle rencontre aura lieu. À titre de dirigeants de Newrest, nous vous demandons de donner les mandats nécessaires pour que nous obtenions enfin la prime souhaitée.
Mettre fin à l’exploitation de travailleuses et travailleurs étrangers temporaires
Plusieurs d’entre nous sont des travailleuses et des travailleurs étrangers temporaires qui œuvrent pour Newrest en offrant le meilleur de nous-mêmes. La décision de l’entreprise de nous licencier aura des impacts dramatiques sur nos vies. L’obtention d’une prime de rétention serait la solution qui nous aiderait à faire face à un avenir actuellement incertain.
Merci.